Près de 200 personnes étaient réunies devant le Carré Feydau, le mercredi 4 novembre aux alentours de 20 heures, à l’appel des associations Stop harcèlement de rue de Loire-Atlantique et Osez le féminisme. Cette mobilisation fait suite au double viol, mi-octobre, d’une femme de 38 ans dans le centre-ville de Nantes. Les membres de l’association ont invité les personnes présentes à déposer des mots de soutien à la victime. Par ailleurs, des textes forts ont été inscrits, preuve que le phénomène ne laisse pas sans voix.
Pour Charlotte Langle, membre de l’association Stop harcèlement de rue, « la solution passe par l’éducation ».
Crédit photo : Arnaud Gruet